l'évolution des appareils de reproduction du son

  • le phonautographe

    le phonautographe
    A l’origine, le phonautographe est un instrument qui écoute.
    Son concepteur, Édouard-Léon Scott de Martinville, avait en effet prévu que son invention (1857), qui annonçait avec 17 ans d’avance ce qu’allait être le phonographe d’Edison (1874), ne pourrait qu’enregistrer les sons. La diffusion n’était alors pas à l’ordre du jour. Il s’agissait en fait d’aider des laboratoires scientifiques à étudier le son. Techniquement, le dispositif se composait d’un pavillon relié à un diaphragme qui recueil
  • magnétophone

    magnétophone
    Un magnétophone est un appareil permettant d'enregistrer des sons sur une bande magnétique1. Les bandes peuvent être en bobine ou en cassette. Le nom Magnetophon était originellement une marque déposée par AEG (Telefunken) et IG Farben et désignait les seuls « enregistreurs à ruban ». Ce terme est passé dans le langage courant, devenant une sorte de nom commun. Le principe est de polariser grâce à un électroaimant (tête magnétique), les particules métalliques magnétiques d'un support souple en
  • phonographe

    phonographe
    Le phonographe, dont le brevet a été déposé en décembre 1877 par Thomas Edison est à l’origine de l’industrie de la musique enregistrée. Cet appareil a connu de nombreuses améliorations successives sous le nom de graphophone et gramophone. Nous vous proposons de retracer l’histoire de cette invention.
  • gramophone

    gramophone
    Il a été inventé et développé par l’Allemand Émile Berliner de 1886 à 1889. Le disque à gravure latérale, support moderne de l’enregistrement sonore utilisé par le gramophone, en constitue l'innovation majeure. La gravure latérale consiste en un va-et-vient du stylet graveur dans le plan du disque. Vu au microscope, un sillon à gravure latérale rappelle les méandres d'un fleuve sur une carte géographique.
  • électrophone

    électrophone
    Un tourne-disque ou électrophone est un appareil électronique destiné à restituer un enregistrement sonore réalisé sur disques microsillons. Appelé aussi pick up (table tournante au Québec), il est le successeur électronique du phonographe.
    Une platine, platine tourne-disque ou « table de lecture », ne comprend que les mécanismes de lecture des disques, sans amplification ni haut-parleurs. C’est la forme la plus courante de tourne-disques depuis la fin des années 1970.
  • baladeur cassette

    baladeur cassette
    Un baladeur (terme recommandé en France par la DGLFLF1 et au Canada par l'OQLF) est un appareil électronique portable destiné à l'écoute, éventuellement à l'enregistrement et/ou à la visualisation de contenus multimédias. Ce terme s'est peu à peu implanté en France, du moins dans le langage officiel (dénominations commerciales et supports publicitaires). Dans le langage parlé, il fut longtemps en concurrence avec le terme Walkman, marque commerciale de Sony qui avait semblé s'imposer dans un pr
  • lecteur mp3

    lecteur mp3
    En 1988, la société Diamond sort, sous la marque Rio, le premier baladeur MP3, profitant de l'invention de ce format de compression sonore. Le Rio PMP 300 permet de stocker 32 Mo de données, soit environ une demi-heure de musique. Cependant, ses capacités sont trop limitées pour enthousiasmer le grand public. D'autres marques reprennent alors l'idée et lancent des modèles améliorés
  • baladeur CD

    baladeur CD
    e lecteur de CD (appelé communément « lecteur CD ») est un lecteur de disque optique qui lit au moyen d'une diode laser les disques optiques appelés disques compacts ou CD, qu'il s'agisse de CD audio ou de CD-ROM informatiques. Quand il est utilisé pour écouter des CD de musique, le lecteur de CD peut être intégré à divers types d'appareils portables ou domestiques, à un combiné autoradio, etc. Il peut aussi être un appareil séparé, portable ou domestique, à relier à une chaîne Hi-Fi, un amplif